Community bakery first for Dunbar
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6 October 2011
- From the section Scotland business
The new bakery is being seen as an important step in regenerating Dunbar town centre
A new community-owned bakery in East Lothian is being hailed as a prototype for other Scottish towns looking to revive their high streets.
The Bakery in Dunbar is opening after 300 people raised almost £40,000 through the sale of community shares.
A campaign to set up a bakery was launched after the town’s long-standing Smith’s family bakery closed in 2008 when the owner retired.
The bakery will sell freshly-baked breads, pastries and cakes.
Its staff will include three professional bakers and a front-of-house team.
Plans to set up a new bakery were driven by local voluntary and community groups, who saw the idea as an important step towards regenerating the town centre.
The not-for-profit business was founded as an industrial and provident society in June 2009, and later secured funding of £53,000 through the Scotland Rural Development Programme (SRDP) and a further £10,000 from the National Lottery.
The community co-operative, known as Dunbar Community Bakery, also secured finance from the Co-operative Loan Fund to set up shop at a former high street newsagent’s and pay for new, professional baking equipment.
Initiative. La Chouette Coop, pied de nez toulousain à la grande distribution.
Proposer une alternative à la grande distribution, c’est le pari lancé par la Chouette Coop. L’association toulousaine a organisé le 12 décembre son premier groupement d’achat.
Publié le : 15/12/2015 à 15:02
Lorsque l’on décide de consommer bio ou local, on se heurte rapidement à la question du coût. Privilégier les circuits courts et la traçabilité des produits s’avère onéreux. Une situation jugée intolérable par les initiateurs de la Chouette Coop, dont le but est de contourner la grande distribution.
Inspiré par la Louve, supermarché coopératif parisien, la Chouette Coop est un projet récent. La première assemblée générale s’est tenue en mai dernier. Ce premier groupement d’achat constitue une phase de rodage pour la coopérative, qui compte aujourd’hui un peu plus de 160 adhérents, aussi appelés « chouettos ». Ils sont venus, samedi 12 décembre 2015, récupérer leurs commandes.
Des produits de qualité à des prix intéressants
« Le but est de proposer un équilibre entre produits bio et produits locaux », explique Camille Duvelleroy, en charge du groupement d’achat. « Nous souhaitons que les producteurs aient une démarche éthique », poursuit-elle. Une charte est en cours d’élaboration.
Au total, une soixantaine de commandes ont été passées pour ce premier essai.
Le panier moyen comporte 13 articles, pour une valeur de 32€, déclare Camille Duvelleroy.
L’avenir est au supermarché collaboratif
Vous me voyez venir encore avec mes concepts et mes idéaux d’un monde meilleur où notre quotidien serait amélioré par l’intelligence collective et l’incroyable puissance du collaboratif.
Pourtant, à mon avis, un développement du concept de supermarché collaboratif n’est en rien une utopie. D’une part, nous sommes de plus en plus nombreux à être excédés par les faux pas de la grande distribution, un oligopole injuste qui entretient un cercle vicieux de surenchères marketeuses vides de sens. D’autre part, nous sommes de plus en plus conscients des inégalités économiques que soutient ce système.
court-circuiter la grande distribution en proposant des modèles plus justes, plus accessibles et plus logiques
Je vous parlais récemment des “AMAP 2.0”, ces sociétés de livraison de paniers qui réussissent à trouver un modèle économique fiable et une vraie pérennité. Ces initiatives qui s’inscrivent dans l’objectif de court-circuiter la grande distribution en proposant des modèles plus justes, plus accessibles et plus logiques, sont de plus en plus rejointes par des concepts d’épiceries et supermarchés collaboratifs, à l’étranger mais également en France.
C’est ce lundi la journée de l’Europe, l’occasion de se pencher sur l’apport de l’Union dans notre quotidien.
Dans l’agglo bordelaise, la « SuperCoop » reçoit un coup de pouce de l’UE.
Le principe, les adhérents donnent de leur temps faire fonctionner la structure, en échange de produits moins chers.
Ce mois de mai célèbre l’Europe, le « joli mois de l’Europe » comme l’a désigné très officiellement l’Union Européenne (UE). En plus de cela ce lundi 9 mai commémore le discours de Robert Schumann le 9 mai 1950 considéré comme l’acte de naissance de l’Union européenne.
Beaucoup plus souvent qu’on ne le pense, l’Europe intervient dans notre quotidien. Notamment à travers les financements qu’attribue l’UE. Ces fonds représentent 2,4 milliards d’euros pour la grande région sur la période 2014-2020.
SuperQuinQuin, le supermarché participatif, va arriver à Lille
CONSOMMATION Un projet de supermarché participatif est en train de voir le jour pour une ouverture espérée à Lille à l’horizon 2017…
Le supermarché « dont vous êtes le héros ».
Un projet de supermarché participatif est en train de mûrir doucement à Lille.
Si les contours du futur « SuperQuinQuin » se précisent, le lieu en lui-même ne devrait pas ouvrir avant 2017.
Le modèle américain
Le concept de supermarché participatif, ou collaboratif, existe déjà dans d’autres pays, et notamment depuis 1973, aux Etats-Unis, avec le Park slope food coop (voir vidéo ci-dessous). En France, l’idée est nouvelle et les projets fleurissent ici et là, comme à Paris avec « la Louve » ou à Bordeaux avec le Supercoop. Dans ces structures, pas de clients mais des membres d’une coopérative où chacun doit mettre la main à la pâte pour pouvoir bénéficier des avantages du supermarché : trois heures par mois, les membres travaillent bénévolement à la caisse, la mise en rayon ou au nettoyage…
Le supermarché collaboratif La Louve fait des petits
D’un supermarché collaboratif à une coopérative toulousaine
Sur une structure d’achat groupé, deux Français ont monté à Paris l’association Les Amis de la Louve. Avec dans l’idée un projet plus ambitieux, un supermarché. Il s’agit d’une structure autogérée : elle est gouvernée par ses membres, lesquels sont pour la plupart bénévoles et assurent toutes les tâches de vente, de gestion et d’administration.
Chaque membre doit travailler 3h tous les mois. L’autogestion permet aux prix de rester bas pour le membre-consommateur, tout en garantissant une rétribution correcte aux producteurs.